Knock knock...who's there ?Max & LethaIl y a quelques jours je rencontrais une bête que je pris aussitôt en chasse. Cette chose avait déchaîné sa fureur sur un pauvre malheureux. Une pauvre âme qui s'était trouvée au mauvais endroit au mauvais moment. Un individu qui ne demandait qu'à vivre et qui fut cruellement assassiné par une créature de la nuit. Un homme à moitié loup, dont l'animal féroce et sanguinaire n'avait eu aucune pitié pour sa victime, déchiquetant par la seul puissance de ses crocs le corps de sa proie. Le reste n'avait été qu'un jeu de piste. Un peu à l'écart de la scène du crime où gisait les membres de la victime, de légères et très discrète gouttes de sang étaient visible sur le béton de la route. Elles auraient facilement pu passé inaperçu, mais j'étais une chasseuse depuis l'adolescence et mon père m'avait particulièrement bien formé. Grâce à lui j'avais l'oeil pour observer les petits détails et c'est ainsi que j'ai pu trouver la trace du monstre. J'étais resté prudente, je savais que les loups avaient un odorat sur développé. Je ne voulais me faire repérer avant d'avoir pu mettre la main sur lui, sur cette animal. Il ne connaissait certainement pas mon odeur, et me considérerait probablement comme n'importe qu'elle humain de la ville. Seulement, j'étais sur ses talons, et il s'en rendrait compte à un moment donné. Je ne connaissais que trop bien les vampires. Ma famille les traquent sans relâche depuis des siècles. Moi-même je les déteste. Rien que d'y songer, je sens la colère m'envahir. L'une de ses horreurs est venu attaquer ma famille lorsque je n'avais que treize ans. Par son unique faute, cette sangsue avait pris la vie de plusieurs des miens, les tuant sous mes yeux sans aucun scrupule. Tous ces monstres ne sont que des abominations de la nature, les vampires comme tous les autres ! Le loup-garou que je traquait n'en faisait pas exception. Comment avait-il pu commettre un meurtre aussi effroyable de sang froid ? L'être humain se suffisait à lui seule pour commettre tant d'atrocité, mais les créatures obscures, elles, vivaient dans cet unique but. Cela me répugne, je ne comprends pas comment de tels chimères puissent exister ? Si Dieu était réel, comment pouvait-il être le créateur de tant de monstres aussi méprisables et meurtriers ? Alors que je m'aventurais dans une ruelle où régnait la pénombre, l'animal que je cherchais me fis soudainement face. Ses yeux étaient luisant. Seuls ses iris d'un bleu glaçant étaient perceptibles dans l'obscurité de la rue. Je pouvais entendre ses grognements féroces.
Chasser le loup-garou n'était pas dans mes habitudes, j'en rencontrais bien trop peu. Cependant, jamais je ne me serais lancée dans cette traque sans aucune arme pour me défendre. Je ne sortais jamais de chez moi sans mes couteaux fétiches dissimulée entre mes vêtements. Ni même sans une arme chargée. Mon revolver entre les mains, la bête coincée dans cette impasse, j'étais sûre de mon coup. J'étais convaincue avoir la peau du loup, me débarrasser de cette ordure de monstre. Mais notre combat fut bien plus rude que je l'avais imaginé. Le loup était plus vieux que moi, il était un animal depuis bien plus longtemps que je ne pratiquait la chasse. Il était plus rusé aussi, contrairement à moi qui était bien trop téméraire. C'était là l'un de mes plus gros défaut. Je fonçais dans le tas sans réfléchir, j'agissais avant tout. Sa sauvagerie était bien présente, il n'avait peur de rien et même lorsque l'une de mes lames transperça sa chair, il n'en était pas moins intimidé. Je l'avais sacrément amoché, je l'avais blessé à de multiple reprise. Il fut même contraint de reprendre sa forme d'homme pour continuer de m'affronter, car jamais je ne l'aurais laisser partir vivant ! Lui aussi avait réussi à m'infliger de sacré coups. Ce n'était pas mon premier combat, les coups et les blessures étaient mon quotidien, je savais gérer la douleur désormais. En revanche, lui, était bien décidé à s'en sortir librement. Ses yeux avaient soudain repris leur couleur de glace et, distraite par ce reflet lumineux, l'homme garou en profita pour abandonner son enveloppe charnelle et reprendre la forme d'un animal sauvage. Surprise par ce changement soudain, je ne réussis pas à l'esquiver lorsqu'il bondit sur moi ! Ma tête avait heurté le sol si violemment que je perdis connaissance, laissant le loup s'enfuir ! Plus tard en reprenant mes esprits et découvrant que je l'avais laissé s'échapper, j'en étais furieuse. La rage de ne pas avoir pu l'achever me mettait hors de moi. Mais je n'allais pas le laisser s'en tirer aussi facilement. Il allait payer pour son crime, c'était indéniable. Sans attendre j'avais entrepris des recherches sur cet individus. Après plusieurs jours a plancher pour retrouver cette homme loup, mon enquête avait fini par payer. J'avais une adresse. La sienne. Mes munitions préparées, mes armes rechargées et mes lames précieusement trempées dans un mélange d'aconit tue-loup, j'étais fin prête pour rendre une petite visite improvisée à mon cher assaillant de l'autre jour. Je me trouve à présent devant sa porte, mon revolver à la main. D'un coup de pied violent, j'enfonce la porte d'entrée qui s'écrase dans un bruit sourd contre le mur. J'entre dans la maison et commence une petite excursion dans toutes les pièces afin de trouvé la raison de ma venue ici. Lorsque soudain, je me fige instantanément. La cible qui trône face à mon revolver n'est pas la créature que je traquais, mais une jeune fille qui n'a aucune idée de ce qu'il se passe ni ce que je fiche ici. Je suis perplexe, je ne comprends plus rien. Qu'est-ce qu'elle fou ici ? Est-ce que je me suis trompée de maison ? Non, impossible, c'est la bonne adresse. - Bordel ! Mais t'es qui toi ?! Je lui lance sur un ton froid. Je sens mon cœur battre plus fort, mon rythme s’accélère. J'aurais pu la blessé cette idiote si je ne l'avais pas remarqué tout de suite ! Mais je ne peux pas lui faire de mal, ce n'est qu'une gosse. Elle doit à peine avoir la majorité, et encore, je n'en suis pas sûre. Je ne baisse pas mon arme et la garde toujours en visuel. Même si je n'ai pas l'intention de tirer, il faut toujours se méfier des apparences. Va savoir si elle ne connaît pas le type que je recherche...
Je savais qu'il y'avais des chasseurs dans le coin, y'en avais toujours eu, et vue que certain avait déjà essayer de me tuer, je savait qu'ils étaient bien la. Mon père me disait souvent, si tu veux vivre tu doit les faires disparaître, sinon ils te retrouverons et ils te tueront. Je n'avais pas envie de tuer, aussi étrange que cela pouvait être. Je savais que si je tuais le peu d'humanité que j'avais gagné jusque là volerais en éclats. Je ne savait pas si tout ce qu'on disais sur les coyotes était vrais, mais honnêtement j'étais pas sûr de vouloir le savoir.
Alors quand mon père était rentré blesser, j'avais légérement paniquer, je n'avais absolument que lui, et si il mourrait je me retrouverais toute seule. J'avais sentis l'odeur de son sang et celui de quelqu'un d'autre. J'avait deviné qu'il avait sûrement tuer quelqu'un, mon père n'était pas du genre à ce contenir, quand il avait envie de tuer il le faisait, c'était cruel n'est ce pas ? Mais il avait toujours été comme ça, enfin du moins je l'avait toujours connu ainsi. Je me disais que la perte des gens qu'il avait aimé devait beaucoup jouer sur son comportement et le faite qu'il avait également failli me perdre une fois. J'avais cette chance, il m'aimait et ne me ferais jamais aucun mal, j'étais la seule personne à qui il ne ferait absolument rien. Pourtant son comportement nous mettait tout les deux en danger, il n'y aurais pas que lui qui payerais les conséquence de ses actes.
Il m'avait raconter ce qui c'était passé, et m'avait parlé d'une chasseuse. Je lui avait alors demandé si il avait " réglé le problème ", à ma grande surprise non, je comprenais pas pourquoi, peut-être que ces blessure avait été trop grave pour qu'il s'attarde sûr toi, ou qu'il avait juger que tu n'en valait pas la peine. En tout cas je ne le saurais jamais pour la simple et bonne raison qu'il avait juste hausse les épaules en guise de réponse. C'était un truc de famille quand on avait pas spécialement envie de parlé d'un truc en haussais les épaules. Tout ce que j'espérais c'est que personne ne nous trouverais ou nous tuerais.
Je l'avait aidé avec ses blessure même si il m'avait dit que ce n'était rien de grave. J'aurais bien voulu lui demander qui il avait tuer mais je connaissais déjà ça réponse " Cela n'a pas d'importance ", il répondait ça parce que même lui en avait aucune idée. J'aurais aimé que mon père ne soit pas ce qu'on dit de lui, mais il exactement ce qu'on dit de lui.
C'était sûrement à cause d'être surnautrel comme lui que les autres ce faisais chasser et mourrais alors qu'ils n'avaient rien demandé à personne. Le truc c'est que je pouvais pas lui en vouloir parce que je l'aimais et il était réellement la seul personne que j'aimais, il restais mon père, et lui au moins n'avait pas essayer de me tuer.
Aucun chasseur ne c'était pointé chez nous ce jour la, je me disais que avec un peu de chance, il avait pu ne laisser aucune trace. Lui ? et bien il n'en parlais pas, comme si il ne c'était jamais rien passé.
Nous les êtres surnaturel on vivait toujours dans l'angoise de ce faire tuer et pourquoi ? parce que on était différent, que on ne rentrais pas dans la normal, je trouvais cela raciste quand j'y pensais un peu plus. Après tout certains d'entre nous n'avait pas demandé à l'être, j'étais née coyote, on m'avait pas mordu et je l'avais pas demandé. Pourtant je manquais de me faire tuer de temps en temps, parce que j'avais un coté animal, on était chassé comme des vulgaire cerfs dans la forêt,Alors qu'on avait tous une part humaine. Un chasseur qui tuais l'un d'entre nous ne tuais pas qu'un animal mais également un être humain, et après c'était nous qu'on traîtais de monstre. Y'avais sûrement plus de chasseur qui tuais des loups garou ou autre que des loup garou qui tuais des être humain, un peut comme avec les requins qui tuais vraiment rarement, et souvent c'était un accident.
J'avais entendu des bruits qui ce dirigeais vers chez moi, j'avais alors doucement froncé les sourcils. Je ne connaissais pas cette odeur. La personne derrière cette porte semblais déterminé, et je pouvais sentir ta haine, ta colère, et tout ce qui me renforçais dans l'idée que cela allait peut-être mal tournée. Je n'était pas totalement sûr de tes intentions, peut-être que c'était une voisin en colère ?. J'essayais de mon concentré sur ce que j'entendais et ce que je sentais.
Deux question ce présentais à moi, est-ce que je devais fuir ? Est-ce que c'était dangereux de resté la ?, tout ce que je savait c'est que tu était humaine, donc je pourrais me défendre si il y'avait un problème. J'étais alors sortie de ma chambre. Heureusement mon père n'était pas.
J'avais alors entendu la porte s'ouvrir violemment, il était claire que tu n'étais pas venu avec de bonne intention. J'avais alors serré la mâchoire en retenant un grognement. Je m'étais mise en position d'attaque, j'étais prête à te bondir dessus pour planté mes crocs dans ta gorge. Quand tu me fit enfin face je pu voir la perplexité sur ton visage, l'étonnement. Visiblement tu t'attendais pas à me voir, et j'avais pas mis longtemps à comprendre qui tu cherchais. J'avais alors froncé les sourcils à tes mots.
-Je suis chez moi. [ Dis-je aussi froidement que toi. ] Vous ne devriez pas être ici, alors je crois que c'est plutôt moi qui devrait vous posez la question... Qu'est ce que vous faite chez moi ?
J'avais retenu le grognement qui avait manquer de ce faire entendre. J'essaye de resté calme, si tu avait voulu me tuer, tu n'aurait pas eu cette réaction, et tu aurais sûrement déjà tiré depuis longtemps. Tu n'avais pour le moment aucune preuve de ce que j'étais. Mon coté coyote me disais de te sauté dessus et de t'arracher la gorge tout de suite, et j'entendais la voix de mon père " Ils faut les tués sinon c'est eux qui nous tueront ". Je restais à bonne distance en me battant contre moi même.
Vous avez cassé ma porte, et vous braquer une arme sûr moi...Je crois pas que ce soit autorisé par la loi...[ J'avais eu du mal à finir ma phrase, tout mon corps était tendu, et mes crocs ne demandais qu'a sortir comme mes griffes et c'était presque douloureux. Y'avais une chasseuse dans la maison et j'étais toute seule. ]
Sujet: Re: Knock knock... who's there? - Max Sam 30 Sep - 1:10
Letha Archer a écrit:
Knock knock...who's there ?Max & LethaJe me suis retrouvée devant cette fille. Je n'ai aucune idée de qui elle est, je ne l'ai même jamais vu auparavant. Je suis surprise de la voir elle plutôt que l'homme que je cherchais. C'était lui la raison de ma venue ici. Je sais que je ne me suis pas trompée d'endroit, j'en suis certaine! J'ai vérifié l'adresse avant de débarquer dans cette maison, je n'aurais jamais fait d'entrée fracassante si je n'étais pas sûre de moi. Mon étonnement se lit sur mon visage, je m'attendais à un face à face mais certainement pas avec cette jeune fille! Du tac au tac les mots sortent de ma bouche et je l'interroge pour connaitre son identité. Ma voix est ferme presque hostile, pour un accueil chaleureux il est clair qu'il faudra repasser! Je ne l'ai pas mise en confiance, et il est évident qu'avec une arme chargée pointée droit sur elle, elle ne peut pas se sentir rassurée! Cependant, je ne sais pas qui elle est, je ne peux pas me permettre de baisser ma garde... Je suis chez elle. Cette fille vit ici... C'est certain, elle doit forcément connaître le type que je cherche! Peut-être le protège t-elle? A t-elle seulement conscience de qui est réellement cet homme? De sa véritable nature de monstre? Ainsi que des nombreux meurtres dont il est l'auteur? Et elle alors? Participe-t-elle à tous ces massacres? Elle est sur sa défensive, évidemment je ne pouvais espérer une autre réaction de sa part. Je me suis introduit chez elle en enfonçant sa porte, si elle ne s'était pas enfuie en courant elle n'allait certainement pas me recevoir pour boire le thé et échanger les banalités. Je ne suis pas la bienvenue, l'hostilité est palpable entre nous. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un léger rictus du coin des lèvres. Si briser la serrure de sa porte n'est pas autorisée par la loi, que devait-elle penser de tous ces crimes commit par le loup que je recherchais depuis plusieurs jours? Je la scrute et l'observe pour tenter d'apercevoir ce qui la trahirait peut-être. Elle ne m'a pas l'air bien dangereuse, mais les apparences ne sont pas toujours ce qu'elles semble êtres. Je ne sais pas pas trop si je dois lui répondre, doit-elle connaître la raison de ma venue ici? Dois-je jouer la carte de la franchise et lui avouer ce qui m'amène chez elle? Ou dois-je simplement inventer un mensonge histoire qu'elle lâche l'affaire? Après tout, je n'ai qu'à lui dire que je suis de la police! J'ai été flic pendant six ans, cela ne serait pas totalement faux si je ne lui précise pas que j'ai rendu mon badge l'année passée... Et puis, c'est bien un criminel que je traque, n'est ce pas? D'un autre côté, si je lui dis la vérité et qu'elle n'est au courant de rien, elle risque simplement de me rire au nez. - Je cherche un type. Voilà, c'est clair, c'est précis. Avec ça elle obtient une réponse sans pour autant en savoir plus que le nécessaire. J'ignore toujours si cette-dernière connait l'homme que je tente de retrouver, où si, au contraire elle n'est qu'une victime dans toute cette affaire. Mon arme est toujours dans ma main, elle n'a pas bougé. - T'es toute seule? Je lui lance. Je continue de jeter de rapide coups d'oeil à la pièce, au cas où un détail m'interpellerait. Mais rien, ni même le moindre bruit suspect. Il ne semble bien n'y avoir que nous deux. De ma main libre, je plonge dans l'une des poches intérieur de mon blouson. J'en sors aussitôt un bout de papier où y est noté l'adresse et le nom de l'homme que je cherche. J'ai besoin de savoir dans quoi je met les pieds, il faut que j'en sache davantage. Je lui tends ma note pour qu'elle la prenne. - Ce nom te dis quelque chose ? Je suis toujours méfiante, cependant mon ton c'est tout de même adouci. Si cette fille sait quelque chose, j'aimerais autant qu'elle me le dise!
Sujet: Re: Knock knock... who's there? - Max Mar 3 Oct - 4:24
KNOCK KNOCK...WHO'S THERE ? Max & Letha.
Je ne savais pas réellement comment j'étais censé réagir face à toi, est ce que je devais l'attaquer, est ce que je devais resté calme et faire comme si j'étais morte de peur. Non pour cela c'était trop tard, je n'avais même pas simulé la peur, mais plus l'étonnement. J’espérais que tu ne trouvais pas cela étrange. Non tu devais être bien plus occupé par le faite de trouvé mon père, et rien d'autre n'avait d'importance. Si je t'attaquais et que je mourrais cela n'aurais servis à rien. Il était hors de question que je te dise ou le trouvé.
J'étais plus concentré sur ton armes que sur ce que tu me disais, j'essayais de me souvenir de ce que me disais mon père " attrape le bras de ta victime, celle qui tien l'arme quand elle s'y attend le moins, brise lui le bras " Mon père était un homme violent, désarmé ne suffisait pas, il fallait que la personne souffre pour lui donné une leçon.
J'avais décidé de te mentir et comme ça tu pourrais partir et personne ne serais blesser, parce que de toute évidence si je n'avais pas le choix je te tuerais et ça même si je ne veux pas devenir comme mon père. Ma vie était bien plus importante que le faite d'être une bonne personne, surtout dans cette situation.
Si mon père avait été là il lui aurait sauté à la gorge sans hésité. Oui je savais réellement qui était mon père, je connaissais ça véritable nature. Je savais absolument tout de lui, mais peut importe ce qu'il faisais c'était mon père et il était le seul qui me restais, le seul que j'aimais d'un amour inconditionnel, bien sur que je le protégeais. Bien sur que je le protégerais toujours, si il mourrait que me resterais t-il.
Tous ce que je voulais c'est que tu t'en aille. Après tout si tu pensais d'être tromper tu ne reviendrais pas. Mon père n'avais pas été assez prudent sur ce coup la je devais bien l'admettre. Parce que si il l'avait été tu serais pas ici devant moi avec une arme charger à la main. Je serrais la mâchoire et j'essayais de contrôlé mon sentiment d'être en danger, sinon j'allais me transformer.
Le faite de te signalé que tu venais de commettre un crime était une façon de te dire de fuir, j'avais espéré que cela marcherais, parce que honnêtement, le crime m'importais peut. Te dire que j'allait appeler la police te ferais visiblement pas dégager plus vite. Tu finirais bien par t'en allez, peu importe comment.
Tu avais raison de te méfier, si tu voyais mes crocs et mes griffes tu tirerais sans aucune hésitation. Je savais pourquoi tu étais la, mais te le demandé et faire l'ignorante aurais plus de chance de marché. Je n'étais pas naïve, mais tu ne savais rien, tu savais ou mon père habitais mais visiblement tu ne t'étais pas assez renseigné pour savoir qu'il avait une fille, ce qui était une bonne chose pour moi. Après tout si tu l'avais su, tu te serais posé aucune question et j'aurais sûrement reçu une balle dans le crâne. Les chasseurs comme toi ne prenais pas la peine de savoir si on était bon ou mauvais vous tuiez c'est tout.
J'avais alors froncé les sourcils à tes mots. J'observais l'appartement comme si je le connaissais pas, comme pour vérifier que j'étais bien toute seule.
-Je suis toute seule oui. [ Dis-je d'un ton sec.]
Heureusement mon père n'avais pas pour habitude d'accroché des photos ou quoi que ce sois, cette endroit était neutre un peu comme un appartement témoin. Je posais alors mes yeux sur le bout de papier et je lisais le prénom dessus ainsi que le nom de famille que je connaissais déjà. Je réfléchissais à la réponse que j'allais te donner, quelque chose qui serais logique.
- Cela me dit quelque chose...Je crois que c'était l'ancien locataire de cette endroit. [ Dis-je en haussant les épaules. ] Vous vous êtes mal renseigner, et vous me devez une porte, parce que visiblement frapper ça existe pas.
J'essayais de me détendre, mes je savais que mon regard avant changer et que je devais te regarder avec une certaine lueur animal, comme si j'allais te sauté à la gorge. Un bruit venais de retentir dans la pièce à coté, j'avais tournée rapidement le regard.
- Vous n'êtes pas venu seule ? [ C'était pas vraiment une question, parce que je savais que si, mais est ce que quelqu'un t'avais rejoint ? ou peut-être que ce n'était rien, c'était pas mon père je l'aurais sentis arrivé. ]
Accueil 
2981 12289 0
